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AAHJ – Rapport d’Activités 2013
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L’accompagnement de la 3ème personne était principalement centré sur l’insertion
professionnelle et le logement : l’orientation vers le dispositif d’intermédiation
locative a été la plus pertinente quant à la situation de ce jeune homme. En effet, dans
un premier temps nous avons travaillé ensemble autour de la recherche d’emploi, et il
a pu obtenir un emploi dans une entreprise d’insertion. A partir de là, nous avons pu
envisager de travailler autour du logement ; car tant qu’il était sans emploi et que ses
ressources se limitaient aux aides financières du Fonds d’Aides aux Jeunes, cet aspect
de l’accompagnement social ne pouvait être la priorité. Ce jeune homme s’est donc
retrouvé en capacité d’autonomie financière pour accéder à un logement, cependant il
n’avait jamais été locataire et éprouvait quelques difficultés quant à la « bonne tenue »
de sa chambre dans notre dispositif. C’est pourquoi nous avons proposé sa candidature
à l’Intermédiation Locative, afin de lui permettre d’assurer une transition dans les
meilleures conditions, entre son statut d’hébergé et son futur statut de locataires, avec
les différentes charges et devoirs inhérents à ce statut.
Sorties en logement social : 4 personnes
L’une d’elle avait sollicité un DALO avant son entrée dans notre dispositif, et c’est par ce
biais qu’un logement social lui a été attribué.
Les 3 autres sorties ont concerné des personnes suffisamment autonomes.
Sorties en résidence sociale : 2 personnes
Pour ces deux personnes, la sortie en résidence sociale était la plus pertinente, au regard de
leur situation financière. La 1ère personne bénéficiaire du seul RSA socle, la seconde
personne percevait des ressources (salaire pour un emploi à tiers temps et Allocation
Temporaire d’Attente) dont le montant cumulé équivalait au RSA. Leur durée de séjour
respective a été d’une année et s’explique par le délai d’attente relativement long pour accéder
à une place en résidence sociale.
Concernant la dynamique de sorties du dispositif
Outre les difficultés liées aux situations professionnelles et financières relativement précaires
des personnes, la mise en place du traitement des demandes par le S.I.A.O. n’apparait pas
évidente : ainsi bon nombre de demandes de prise de relais dans d’autres hébergements
restent longtemps sans réponse.