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AAHJ – Rapport d’Activités 2012
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La réflexion stratégique sur la mission de l’AAHJ est encore à faire, les statuts sont à
dépoussiérer. Sa mission reste toujours celle de ses origines savoir être inventive et réactive dans
l’action pour répondre à de nouveaux besoins. L’AAHJ a démontré encore en 2012 qu’elle sait le
faire, elle le fera encore en 2013, nous en parlerons plus tard.
Nous devons serrer les rangs pour être en ordre de marche. Notre association n’est pas une
armée, mais un collectif d’associations unies dans la lutte contre tout ce qui laisse des personnes
au bord du chemin. Nous ne réussirons que si nous restons en 2013, le Conseil d’administration
et le Bureau, le directeur et les chefs de service avec leurs équipes, chacun dans son rôle, unis et
solidaires sur la route qui a été et qui risque d’être encore en 2013 souvent chaotique.
« Mais c’est quand que vient le soleil ? »
C’était la question à la mode ce printemps !
Les météorologues savent de mieux en mieux prédire le temps qu’il fera. Pour l’amélioration de
la situation des personnes que nous accueillons, la météo n’évoluera, hélas, que lentement. Le
climat social et économique se lit aisément dans les nuages qui s’amoncellent dans le ciel de
France et d’ailleurs. Nous ne pouvons qu’espérer que les efforts des pouvoirs publics réussissent
à améliorer les choses dans notre pays. On le sait bien, au dessus des nuages brille le soleil, nous
aimerions juste qu’il se montre plus vite !
L’année 2012 n’a été, pour le dire simplement, pas une année facile. L’année 2013 ne le sera pas
non plus. Mais nous devons réussir ces deux années importantes de transition pour retomber sur
nos pieds en 2014, tant sur le plan matériel que sur celui de l’organisation du travail à l’AAHJ.
Nous avons la particularité d’être un collectif d’associations. Je suis très attaché à notre
fonctionnement collectif au sein du Conseil d’administration et du Bureau où elles sont
représentées. Je pense que nous avons pris les décisions qu’il fallait prendre pour que l’AAHJ
réponde du mieux possible à ses missions et qu’elle puisse s’adapter, améliorer encore son
fonctionnement pour relever de nouveaux défis.
Je voudrais terminer en disant que nous ne ferions rien sans nos partenaires associatifs et
institutionnels et nos financeurs, les services de l’Etat, le Conseil Général du Bas-Rhin, la Ville
et la Communauté Urbaine de Strasbourg. Nous vous remercions pour votre soutien et pour la
confiance que vous nous avez accordée en 2012, et, je n’en doute pas, pour ce que nous ferons
encore ensemble en 2013.
Merci pour votre attention.
Jean-Pierre SIEGRIST