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AAHJ – Rapport d’Activités 2012
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Les déménagements
Il y eu d’abord celui du siège et de l’HCE, de notre bâtiment « historique » vers l’ex
auberge de jeunesse René Cassin. Nous étions dans ces locaux depuis 93, et il est peu de
dire qu’il y avait quelques archives... Il a nécessité un travail de préparation important,
non seulement du départ de la rue de Koenigshoffen, mais aussi en vue de l’arrivée dans
les locaux de l’ex auberge de jeunesse : création de bureaux, mise en conformité par
rapport aux normes de sécurité, câblage électrique et informatique, et surtout
réorganisation dans ce nouvel espace. Je crois pouvoir dire que ce déménagement a été
une réussite. Je vous rappelle que les hébergés sont sortis le matin de l’HCE et rentrés le
soir même sur le nouveau site. Je profite de l’occasion pour remercier déjà tous les
salariés qui y ont activement contribué.
Il faut y ajouter deux autres déménagements importants, qui ont eu lieu en fin d’année,
celui de l’hébergement d’urgence et du Ried Stabilisation, sous la responsabilité de M.
Zimmermann.
Notre hébergement d’urgence était situé provisoirement, depuis 2009 si ma mémoire est
bonne, pour une période de… trois mois, dans les locaux du FJT ADOMA, rue de
Mâcon, au Neuhof, avant que cet immeuble ne soit réhabilité. Toujours repoussée,
l’échéance a fini par se présenter, mais nous ne disposions toujours pas de solution
alternative en ternes de locaux. ADOMA nous a proposé de transférer l’hébergement
d’urgence au Foyer du Ziegelwasser, mais ne pouvait s’engager à rassembler les 20
places qui le composent dans une même unité, qui n’en comprend, au maximum, que
quinze, bureaux déduits. Pour le public que nous accueillons, un hébergement d’urgence
« éclaté », fut-ce dans un même immeuble, ne nous semblait pas concevable. J’ai donc
proposé de déménager les 15 places du Ried Stabilisation au Ziegelwasser, le public
accueilli et le type de travail que nous réalisons avec lui me semblant mieux à même de
supporter « l’éclatement » dans la structure, même si ce dernier représentait un
changement important des conditions de travail, et de déménager 15 places d’urgence
dans l’unité que nous louons au Ried, les 5 autres places d’urgence pouvant
heureusement être accueillies à René Cassin. L’ensemble de ces opérations s’est décidé
tardivement, faute d’autres solutions. Il s’est, là aussi, déroulé sans incident notable et
tout en poursuivant nos activités sans interruption, ce dont il convient pareillement de
féliciter les personnels concernés.